A l’instar de « La mer de glace » de Caspar David Friedrich, l’homme se révèle petit, insignifiant par rapport à la nature. Le paysage sur les photographies nous met en rapport avec les territoires inhabités de Sibérie où la nature rend l’homme tout petit, voire invisible. Ici, le paysage du lac gelé et désert évoque le vide envahissant qui devient de plus en plus étranger à l’homme contemporain. Encore, la nature et le paysage servent de contrepoint au paysage urbain des villes si habituelles au regard contemporain.